ATTENTION ne pas lire la dernière phrase! Nouvelle à chute!
Ne t'approche pas!
Le souffle cour, je courus me réfugier dans la penderie en me cachant du mieux que je pouvait derrière mes vêtements. Dès qu'elle avait crié, c'était comme un signal d'alarme. Un signale horrible, qui à chaque instant qui la suis, signifie peut être la mort... Je me repris, car dans ses conditions la, papa nous l'avez bien dit : il fallait se cacher, ne pas faire un seul bruit et gardez notre calme. Respirez lentement...respirez lentement... Puis, un cris de mort perça mes tympans, PAPA ! Papa mourrait en bas, et moi je ne pouvait rien faire ! Rien faire, a par rester cacher pour survivre !
Je me mit a sangloter, et un flot de larmes me déchira la poitrine. Respirez... Quoi, respirez, quoi ? Se calmer, tout simplement, sinon elle viendra !
Elle monta lentement les escaliers, cette créature infâme, lentement, très doucement, avec des grognement de satisfaction, comme si elle sentait déjà la viande fraîche.
Elle avait fini de monter les marches a présent et reniflait de toute ses forces. Je la sentit, je ne l'entendait plus, le sol vibrait sous ses pas, du moins c'est ce que je crus.
Ah partir d'ici ! PARTIR ! ! Ne plus avoir peur !
Je l'entendit marcher... Vert la chambre de mon petit frère ! Non ! Pas lui ! Il s'était caché comme moi, j'en suis sure, mais il fallait qu'il ne fasse aucun bruit !
Cher petit frère ! Mon cher petit frère ! Maintenant que nous n'avons plus papa, comment faire ? ?
Il y eu ensuite un cri d'horreur, si intense que tout mon corps frémit et je faillit m'évanouir. Je sortit alors en trombe du placard pour partir au secours de mon frère.
Ah ! Je lui sauterais au coup ! Je l'étranglerai ! Ou alors... ou alors j'accompagnerais mon frère dans la mort !
J'arrivais dans la chambre de mon frère et je la vit devant lui, un couteau tachait de sang frai. Puis, je vit mon frère, mon tout petit frère, la poitrine ouverte et baignant dans son sang. Avec un cris de douleur immense, Je me suis précipité vert lui en me jetant dessus, en pleurant son petit corps de bébé. Il ne respirait plus. Je l'entendait, elle, grognait derrière moi mais je n'avait plus peur. Je me retournait et je vit juste un couteau fondre sur ma poitrine. Une immense douleur, puis, je me laisse glisser. Je prend la main de mon petit frère et je jette un dernier regard a mon assassin. Je parvint a dire une dernière phrase avant de mourir :
- C'est pas de ta faute... c'est pas de ta faute maman... Tu es juste malade... c'est...pas...