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Délire de l'âme
Délire de l'âme
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16 novembre 2006

Avenir (texte que je ne changerais pas, mais que je n'aime plus. Simple souvenir)

Fille_au_vent

Avenir

Je médite sur mon sort...

A cause de qui ? A cause d'eux, ce qui m'empêche de rêver, ceux qui me force a travailler.
Ah ! Si seulement je pouvait être étendu sur une vaste prairie en souriant à la vie, en souriant aux oiseaux et en regardant les nuages. Même les jours de pluie, je serais heureuse, courant sous le ciel gris , trempé jusqu'au os et pourtant en continuant à sauter dans les flaques d'eau boueuse en riant.

Maintenant que me reste t il de ces rêves incomplets ? Rien ! juste un vent de désespoir qui souffle dans mon crâne douloureux... La réalité ma rattraper, cette stupide réalité m'a attraper alors que j'était encore dans les nuages.

Je médite sur mon sort...

A cause de quoi ? D'une science qui ne signifie rien dans mon monde, est-ce utile de conté les arbres qu'il y a autour de mon être ? Est-ce utile de savoir combien de litre il y a dans une rivière ? Est-ce utile de savoir la valeur d'une forme qu'on ne rencontrera jamais ? Non, juste est important le doux clapotement du fleuve, le son des oiseau qui chante et l'air frai qui me frappe au visage.

Je médite sur mon sort...

Et qu'est ce que je vois ? un avenir gâché, comme si le paradis m'était interdit à jamais, je devient l'ange déchu d'une société perverse. On m'a montrer les portes qui menait à un avenir de rêve alors qu'elles étaient en train de se fermer. Je me vois courir vert ses portes, mon dernière espoir de vivre un avenir heureux, mais elle se referme, se referme !...

Il est trop tard, trop tard...

J'ai courus pourtant, courus. Entre moi et ces portes, il y avait des images, la nature, mon avenir heureux, et tandis que je courait, l'espoir s'éteignait comme on éteint une bougie. Ces images sont si lointaine maintenant, elle sont devenue des nuages de vapeur qui ont disparut petit a petit. Alors, je m'écroule de tout mon poids sur le sol glacé et je m'effondre sur moi même. Le vent, les oiseaux, la nature, ou est elle ? Les enfants qui rit, qui courent avec leur petite jambes qui vacillent, mon rêve d'adulte, ou est il ? Les larmes qui je séchait, les sourires qui me récompensait et les dessins gribouillé, ou sont il a présent ? Hors de ma porté, derrière ses portes de fer et qui ne s'ouvriront pas.

Il est trop tard, trop tard...

A genoux, j'implore le ciel et la terre, j'implore les éléments qui se déchaînes autour de moi, comme si il voulait me faire tomber plus bas que terre. Mais au moment ou je m'y attendait le moins, une main se pose sur mon épaule. Un main ridé, une main vieilli par le temps : la sagesse est venu me parler. Elle me parle tranquillement et posément. Je sourie de nouveau et les nuages noirs s'écartes pour laissait passer les rayons de soleil. Lentement, je me relève pour rebrousser chemin. Je reviendrait plus tard sur mes pas, pour de nouveau franchir cette porte. Et cette fois ci, elle sera ouverte. Je n'était tout simplement pas prête...

La vie est belle! Tellement belle!

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