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Délire de l'âme

Délire de l'âme
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18 novembre 2006

lettre ( NOUVELLE A CHUTE)

lettre

Lettre

Mon amour,
Voila plus d'un mois que tu m'évites. Je ne peux même plus t'adresser la parole a présent. Mais il faudra bien que tu m'écoutes, je sais que tu ne pourras pas t'empêcher de lire cette lettre.
Tu me dis que c'est fini entre nous. Moi, même si je ne peux pas le croire, même si je sais au font que tu m'aimes encore, je l'ai accepté. Je ne cherche pas a te faire revenir. Je ne cherche pas à me lamenter. Je crois que tu me connais assez.
Je t'ai vu hier accrocher a cette fille trop jeune pour toi, trop pimpante, trop belle, trop maquiller, trop idiote, avec son rire aigu.
Et toi, à côté, triste et t'ennuyant a mourir. Est ce qu'elle t'aurais fait perdre ce qui fait ton charme? Est ce que c'est elle qui t'a monté contre moi? Elle ta ouvert les yeux? Ou peut être est ce tes parents, je ne sais pas, j'ai toujours eu cette impression qu'il ne m'aimait pas beaucoup. (rire)
Je me rappelle lorsque nous nous promenions ensemble dans les parc public, main dans la main. Tu m'embrassais sans gène devant tout le monde, tu criais, tu riais, et moi je rougissez bêtement, et tu me prenais dans tes bras pour me rassurer.
Un jour, alors que nous voulions être un peu tranquille, ma tête poser sur ton ventre, un petit est venu rire de nous et nous jeter des cailloux. Toi d'habitude si calme, tu t'es lancer a sa poursuite, et je crois que si je ne t'avais pas retenu...
Et là, franchement, t'avoir vu avec elle... je crois que ça m'a achevez... toi perdre ta vrai personnalité... Je suis un peu (un peu?) triste que tu m'ai quitter pour des raisons aussi stupide. Avant ça ne te dérangés pas en tout qu'a. Je ne pourrais jamais vraiment le croire.
Tout ça parce que moi aussi je suis un garçon...

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16 novembre 2006

ATTENTION nouvelle à chute!

prison

PRISON DE FER

Toute ma vie, il me semble que je l'ai passé entre des barreaux, ou derrière une vitre, exposé comme un monstre de foire. Ma prison... Aujourd'hui, je suis plus "heureux" que dans mon enfance. Au moins ai-je assez à manger pour ne pas mourir de faim, et de l'eau, de l'eau!


Je suis né en prison. J'ai vu le jour entre des barreaux, sans savoir que ce serait ma maison pour le restant de mes jours. Je pensais que c'était impossible de sortir de là, il me semblait normal que moi et mes frères étions entasser les uns sur les autres, avec juste de la place pour se dégourdir un peu les jambes. Nous étions une famille heureuse, du moins le pensais-je. Je peux dire aujourd'hui qu'il y avait dans le regard de ma mère, une infinie tristesse et une indifférence froide à chacun de nos jeux. C'était étrange, la façon dont elle nous regardait, comme si elle avait honte de nous avoir mis au monde, de nous avoir mis dans une situation pareille. Il est vrai que ce n'était pas ce qu'on pourrait appeler le bonheur... Tout les matins, nous nous précipitions sur la nourriture qu'on nous servait, parce que nous savions qu'il n'y en aurait pas assez pour tout le monde. Quelquefois, il faisait une chaleur étouffante, et nous n'avions pas la moindre goutte d'eau. Espérant un peu de fraîcheur, nous devenions pratiquement fous, et nous léchions les vitres recouvertes de vapeur pour récupérer les rares gouttes d'eau qui y perlaient,


Et puis est venu ce jour d'été, ou les oiseaux chantaient au dehors, indifférent à notre malheur. Je me suis souvent demander à quoi ressembler ces animaux, mais quand je posais la question à ma mère, elle se contentait de me répondre: « Ca ne servira qu'à te mettre du rêve et de l'espoir dans ton esprit fragile». Ce jour là, disais-je, la porte de notre prison s'est ouverte. Quelle surprise j'ai eu alors! Quelle joie! Mais je fus encore plus surpris quand je vis ma mère nous prendre brutalement pour nous jetter au plus loin de cette porte ouverte vers la liberté. Je ne comprenais pas: nous pouvions enfin être libre, libre! Voir le soleil se lever, voir à quoi ressembler les milliers de bêtes qui chantaient le jour et la nuit! Je devenais comme fou; je repoussais ma mère pour me précipiter vers la sortie. Elle ne put rien faire: je fus dehors et la porte se referma sur son visage tordu par la douleur. Horreur! Elle n'avait pas eu le temps de sortir, et j'étais le seul dehors! Mais avant de pouvoir faire le moindre geste, de fortes mains m'agrippèrent en m'étouffant presque, pour me mettre dans une boite encore plus noirre que ma prison...


Le voyage fut infernal: baloter dans tous les sens, j'allais m'écraser d'un coté et de de l'autre de cette endroit étroit sans rien comprendre de ce qu'il m'arrivait. Je donnais des coups de pied et de poing partout pour essayer de briser le bois, mais je ne réussissais qu'à me faire mal. Je fus atteint d'une véritable crise de folie: l'absence de lumière surtout, rendait ce voyage (car je sentais bien qu'on me transportait dans un autre endroit) horrible. Epuisait par mes efforts vains, je finis par m'écrouler sur le coté, et tout en pleurant, je me suis endormis profondément.


C'est la lumière qui me réveilla. On avait ouvert le tonneau dans lequel on me transportait, et étrangement, je restais là, sans bouger. J'avais peur de ce qui m'attendait au bout du tunnel, et je m'étais déjà fait avoir une fois. Mais on ne me laissa pas vraiment le choix : le tonneau bascula en avant, et je fus projeté dans ma nouvelle prison, dont on ferma bien vite la porte. Je regardais autour de moi: cette fois, c'était des barreaux de fer qui m'enfermait. Il y avait sur le sol un bol de nourriture, et sur le côté, de la paille pour seul lit.


Maintenant, je suis séparé de ma famille. Je ne sors jamais de ma cage et je dois dire que je me sens extremement seul, pour ne pas dire désespéré. Heureusement, il y a cette humaine qui prend soin de moi, qui ébouriffit de temps à autre mon poil blanc...

16 novembre 2006

suite

Je vais jouer a son jeu. Je m'assois près d'elle et je la regarde en écarquillant mes yeux verts-marron (un peu couleur vase).
- Pourquoi tu t'es assis ici? La dernière fois tu étais sur le banc.
La petite ouvre ses yeux. Elle me regarde et me sourie.
- Pourquoi tu m'imites? Tu crois que je ne l'aurais pas remarquer?
Elle et ses questions sans queue ni tête.
- Pourquoi tu t'es assis ici? je répète.
- Tu n'as pas répondu à ma question.
- Et toi tu évites soigneusement la mienne.
Je commence à être agacer. Mon côté ado qui surgis du tréfond de mon âme sans doute.
- Pourquoi tu t'énerves? me demande la petite doucement.
Son ton me calme aussitôt. Comment a t elle pu remarquer mon énervement en deux secondes? J'ai l'impression d'être dans la peau de mon père, prit sur le fait. Mon premier réflexe aurait était de me défendre, de dire que j'étais le calme à l'état pur. Mais pas avec la petite. Au lieu de sa, je dit la vérité.
- J'aimerais bien le savoir.
J'ai jamais était sincère avec quelqu'un. Ça fait tout drôle.
- Est ce que tout les gens de ton âge s'énerve?
- Eh bien... Les ados, oui généralement. Ont s'énerve facilement, on en a marre de tout.
- Pourquoi?
- Je sais pas. C'est comme ça.
- Ça, c'est pas une réponse. C'est une réponde d'adulte.
Elle a raison la petite peste. J'ai l'impression d'avoir prit la place d'un prof. Je me creuse les méninges pour trouver une réponse.
- C'est la période ou on se forge ses propres opignons. Donc on est en conflit avec ses parents parce qu'on est pas d'accort avec eux. Ils ne nous laisse pas sortir, ils nous obligent a faire nos devoirs, ils n'aiment pas nos amis. Tu comprends?
- Mais moi je suis pas un de tes parents. Et pourtant tu t'es énerver.
Ça y est. Fallait s'y attendre. J'ai mal à la tête. Toute ses questions qui ne servent à rien me donne le tournis. Je suis qu'en seconde, je conte commençait la philosophie dans 2 ans moi. Et avec un professeur, pas avec une petite fille qui n'a encore rien vécu.
- Tu t'es énerver pourtant, répète la petite.
- Oui je me suis énervé, répondit je avec lassitude. Parce qu'on a trop d'énergie et qu'il faut bien la dépensé en s'énervant un peu.
- Oh je vois.
Ouais, moi aussi je vois. Je suis partie en lui faisant un clin d'oeil et un p'tit coucou de la main, pour ne pas paraître trop "père fouettard". Prendre un cachet d'aspirine. Il y a que ça que je vois.

16 novembre 2006

> suite

J'ai l'impression que si je ne donne pas une réponse, la petite va me poser encore une fois sa question, encore et encore, jusqu'à ce que je lui donne satisfaction. Alors, je me décide enfin à ouvrir la bouche.
- Je n'aime pas les inconnues, grognais je en guise de réponse.
- Oh je vois.
C'est tout ce qu'elle à dit. "Oh je vois". Et elle est repartie, aussi soudainement qu'elle est venue, non sans jeter un de ses regards étranges avant de s'en aller.
Je ne sais pas si elle va revenir. Elle est bien, cette fille finalement. Et je ne connais même pas son prénom. Bah, quel importance après tout?

Deux jours son passer. Hier, p'pa s'en ai prit encore une fois à m'man. Il a faillit la cogner. Mais j'en pouvais plus alors je lui ai sauter dessus. Je voulait pas qu'il lève son gros point d'alcool sur ma mère, parce que sinon, ça ferait comme dans tout les histoires merdiques qu'on nous sert à la télé: le père qui bas sa femme, le pauvre enfant entre eux, puis la mère qui fuis. De toute façon, même si mon père cogner sur ma pauvre mère, elle resterais. On dirais qu'ils aiment ça, s'engueuler. Enfin, quant je suis ai sauter dessus, p'pa s'est tout de suite calmer. Quant il a vu dans quel états j'étais, il s'est mis a bafouiller "Mais... Tu crois que j'au... Tu crois que j'aurais pu?" Il a dit ça comme si il s'interrogeait lui même. Il m'a fait pitié cette abrutit.
A l'école, je me suis encore fait coller. J'men fous. Ouais, j'men fous pas mal. Enfin... non. Ils m'énervent tellement, avec leur méthode à la con, leur principe tout fait qui date du moyen âge. Si ils savaient comme je m'en fous de leur math, de leur français, leur physique chimie! Mais merde, je vois pas ou ça va me mener tout ça!
Il faut que je me calme. Que je pense à autre chose. Alors, j'enfile un anorak et je vais de nouveau au parc. En ouvrant le portail, j'espère voir la petite fille, à mon grand étonnements d'ailleurs. Mais non. Elle n'est pas là. Bizarrement, je me dirige de nouveau vert le saule pleureur.
Elle est là finalement. Dans la même position que moi il y a deux jours.
Je sourie et vais m'asseoir près d'elle.

16 novembre 2006

Non, je n'étais pas déprimé ce jour là. Juste inspirer par la tristesse. ^^

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    Petit saule pleureur


Charles s'avança lentement dans le jardin, en regardant fréquemment autour de lui. Il était nerveux, ça se voyait... Mais pourquoi ? Il tenait dans ses bras un tout petit chaton, très beau, avec un pelage très noir et des yeux vert clair. Doucement, Charles lui parla à l'oreille :

- Tu sais Mousti, il vaut mieux qu'on rentre à la maison. Si maman nous voit ici, on est bon pour tu-sais-quoi.

Il regarda un instant son chat dans les yeux. En voyant qu'il ne réagissait pas, il continua à avancer, doucement, comme si il ne voulait ne pas faire de bruit.

- Tu a raison mon minet, maman n'est pas la pour l'instant. Il n'y a que la femme de ménage.

Dans le grand jardin, il n'y avait que trois chose : Un pommier, une cabane pour ranger les outils de jardin et un arbre magnifique : un immense saule pleureur. C'était cette direction que prenait Charles, son endroit préférer...cette arbre reflétait tellement sa pensée !

Il s'assit doucement et s'installa sur le tronc rugueux de l'arbre. Il lâcha son chat, et palpa l'herbe courte, comme si c'était la première fois qu'il la voyais.

- On est pas souvent la un minet ? C'est le plus belle endroit du monde pourtant.

Charles se détendit un peu et somnola. Il surveillait son chaton attentivement.

- CHARLES JARVER ! VENEZ ICI TOUT DE SUITE !

Cette vois Charles la reconnaîtrait entre mille ; c'était sa mère qui criait depuis le seuil de la porte.

Charles prit son chat sous le bras et courut en direction de la maison. Sa mère l'attendait, les point serrait sur les hanches.

Il arriva devant elle, s'astiqua un peu et la regarda dans les yeux. Sa mère la toisait d'un regard hautain, comme si Charles était un cafard.

- Je rêve Charles ! Dites moi que je rêve !

Charles baissa la tête honteusement, bien qu'il n'arrivait pas à comprendre ce qu'il avait fait de mal.

- Je vous est posé un question petit voyou ! REPONDEZ !
- Non madame.
- Alors expliquait moi ce que vous faisiez assis par terre comme un vulgaire mendiant !
- Je prenait l'air madame.
- Vous preniez l'air ? L'air de votre chambre ne vous suffit pas ?
- J'avais mal a la tête madame.
- Alors il fallait prendre un cachet !

Charles resta silencieux. Il caressa son chat sans s'en rendre compte, la tête toujours baisser. Mille pensés lui traversait l'esprit. Pourquoi mendiant était une insulte pour sa mère ? Ses pauvres gens qui était vêtu misérablement ne méritait pas ça. Et Charles était convaincu que ce n'était pas de leur faute si il se retrouvait dans cette situation. Et il cherchait toujours ce qu'il avait fait de mal. Rien, rien ne lui venait à l'esprit. Son petit chat miaula et lécha le visage de Charles. Il le regarda en souriant et lui fit un baiser sur la tête. Le chat ronronna.

- ET PUIS CE STUPIDE CHAT ! gronda sa mère. Je n'aurait jamais du accepter que tu prenne un animal de compagnie ! tout ça a cause de ce stupide psychologue ! Des charlatans ! Voilà ce que je pence !

Elle attrapa le chat par la peau du coup et le leva jusqu'à ce qu'il se trouve en fasse de ces yeux.

- NON ! s'écria Charles, pas mon minet ! ! Lâche le ! Tu va lui faire mal ! Donne moi mon chat ! !MAMAN !
Il eu de gros sanglots et ne fit rien pour les contrôler. Personne ne pouvait toucher a son chat, personne, même pas sa mère.
- Tu es insolent maintenant ? C'est ça ? fulmina sa mère. Et depuis quant m'appelle tu maman ? tu mériterais qu'on t'attache dans les oubliettes ! Quel manque de respect !
- Mais vous allez faire mal à Minet ! Ne lui faites pas de mal, madame, je ferai tout ce que vous voudrez ! Je vous en pris madame, rendez moi mon chaton !
- Tu a vu sur quel ton tu me parle ? On dirai que je suis un bourreau ! Mais il est temps pour toi de te rendre comte ce qu'est la vrai vie. Fini les méthodes de psychologues ! Tu va voir comment mes parent ont forgés le caractère que j'ai aujourd'hui !

Le chat cracha de fureur dans ses mains pendant qu'elle se dirigeait vert un petit ruisseau. Charles essayait de reprendre son chat, la mordait, s'agrippait à elle mais sans succès. Elle était beaucoup trop forte pour lui, un petit garçon de six ans.

Elle arriva au bort du ruisseau et eu une grimace quant elle trempa ses talon dans la boue. Elle s'accroupis et plongea le chat dans l'eau.

- NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONNN PAS CA !

Un cris de déchirement transperça la gorge de Charles. Fou de chagrin, il plongea dans l'eau et essaya de reprendre son chat. Il mordit la main de sa mère, la lacéré avec ses ongles tout en essayant de libéré son petit chaton.

Mais au bout d'une lutte acharné de cinq minutes, il n'y avait plus rien a faire. La mère retira le petit corps mort du chaton et le jeta sur la berge.

- Ca, ça s'appelle la mort, dit elle calmement.

Charles se jeta sur le corps de son chat tout en sanglotant. Il la caressait comme si il était encore vivant et ne faisait plus attention a sa mère.

- J'ai bien l'intention de vous faire payer ce que vous m'avez fait, mais cela peut attendre, dit elle en frottant sa main. Vous m'avez mordu à sang. Quelque chose qui ne se pardonne pas facilement.

Elle se leva, lissa sa robe et partit en direction de la maison. Charles caressait le chat mais ne sanglotait plus. Maintenant, les larmes roulait silencieusement sur ses joues.

- T'es pas mort, un mon minet ? murmurait il.

Il lui fit alors du bouche à bouche, un massage cardiaque comme il avait vu à la télé. Mais rien a faire : Le chat restait sans vie.

Il le prit dans ses bras et se dirigea vert la maison. Il alla directement voir sa mère, mais maintenant il n'avait plus peur. Il la regarda droit dans les yeux, les larmes continuant a inondait son visage.

- CHARLES ! vous mettez de l'eau partout !
- Madame, vous voulez bien le faire revivre ? S'il vous plaît ?
- On ne peu pas faire revivre quelqu'un de mort ! C'est ça que j'ai voulut t'apprendre : nous sommes dans le monde réel, pas dans tes stupide dessins animés.
Charles resta silencieux. Il alla dans la cuisine, déposa le chat sur la table et pris un long couteau aiguisé. Il retourna dans le salon, le couteau pointait vert sa mère.
- CHARLES ! Tu es fou, qu'est ce que tu fait ?
Sans un mot, devant elle, il prononçât ses dernière paroles.
- Je vais rejoindre minet. Regarde bien : ça, c'est la mort.
Et il planta le couteau dans sa poitrine.
- CHAAAAAAARLES ! NON !

Elle ne pus rien faire : Charles était mort a cause d'elle. Sa folie disparue pendant un instant, pendant une seconde de lucidité. Alors elle prit le couteau et le pointa dans sa direction...
Plus tard, les trois cadavres, le mère, Charles et son petit chat, furent enterrer sous le saule pleureur.

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16 novembre 2006

ATTENTION ne pas lire la dernière phrase! Nouvelle à chute!

Chat_biberon

Ne t'approche pas!


Le souffle cour, je courus me réfugier dans la penderie en me cachant du mieux que je pouvait derrière mes vêtements. Dès qu'elle avait crié, c'était comme un signal d'alarme. Un signale horrible, qui à chaque instant qui la suis, signifie peut être la mort... Je me repris, car dans ses conditions la, papa nous l'avez bien dit : il fallait se cacher, ne pas faire un seul bruit et gardez notre calme. Respirez lentement...respirez lentement... Puis, un cris de mort perça mes tympans, PAPA ! Papa mourrait en bas, et moi je ne pouvait rien faire ! Rien faire, a par rester cacher pour survivre !


Je me mit a sangloter, et un flot de larmes me déchira la poitrine. Respirez... Quoi, respirez, quoi ? Se calmer, tout simplement, sinon elle viendra !


Elle monta lentement les escaliers, cette créature infâme, lentement, très doucement, avec des grognement de satisfaction, comme si elle sentait déjà la viande fraîche.


Elle avait fini de monter les marches a présent et reniflait de toute ses forces. Je la sentit, je ne l'entendait plus, le sol vibrait sous ses pas, du moins c'est ce que je crus.


Ah partir d'ici ! PARTIR ! ! Ne plus avoir peur !


Je l'entendit marcher... Vert la chambre de mon petit frère ! Non ! Pas lui ! Il s'était caché comme moi, j'en suis sure, mais il fallait qu'il ne fasse aucun bruit !


Cher petit frère ! Mon cher petit frère ! Maintenant que nous n'avons plus papa, comment faire ? ?


Il y eu ensuite un cri d'horreur, si intense que tout mon corps frémit et je faillit m'évanouir. Je sortit alors en trombe du placard pour partir au secours de mon frère.


Ah ! Je lui sauterais au coup ! Je l'étranglerai ! Ou alors... ou alors j'accompagnerais mon frère dans la mort !



J'arrivais dans la chambre de mon frère et je la vit devant lui, un couteau tachait de sang frai. Puis, je vit mon frère, mon tout petit frère, la poitrine ouverte et baignant dans son sang. Avec un cris de douleur immense, Je me suis précipité vert lui en me jetant dessus, en pleurant son petit corps de bébé. Il ne respirait plus. Je l'entendait, elle, grognait derrière moi mais je n'avait plus peur. Je me retournait et je vit juste un couteau fondre sur ma poitrine. Une immense douleur, puis, je me laisse glisser. Je prend la main de mon petit frère et je jette un dernier regard a mon assassin. Je parvint a dire une dernière phrase avant de mourir :


- C'est pas de ta faute... c'est pas de ta faute maman... Tu es juste malade... c'est...pas...

16 novembre 2006

Avenir (texte que je ne changerais pas, mais que je n'aime plus. Simple souvenir)

Fille_au_vent

Avenir

Je médite sur mon sort...

A cause de qui ? A cause d'eux, ce qui m'empêche de rêver, ceux qui me force a travailler.
Ah ! Si seulement je pouvait être étendu sur une vaste prairie en souriant à la vie, en souriant aux oiseaux et en regardant les nuages. Même les jours de pluie, je serais heureuse, courant sous le ciel gris , trempé jusqu'au os et pourtant en continuant à sauter dans les flaques d'eau boueuse en riant.

Maintenant que me reste t il de ces rêves incomplets ? Rien ! juste un vent de désespoir qui souffle dans mon crâne douloureux... La réalité ma rattraper, cette stupide réalité m'a attraper alors que j'était encore dans les nuages.

Je médite sur mon sort...

A cause de quoi ? D'une science qui ne signifie rien dans mon monde, est-ce utile de conté les arbres qu'il y a autour de mon être ? Est-ce utile de savoir combien de litre il y a dans une rivière ? Est-ce utile de savoir la valeur d'une forme qu'on ne rencontrera jamais ? Non, juste est important le doux clapotement du fleuve, le son des oiseau qui chante et l'air frai qui me frappe au visage.

Je médite sur mon sort...

Et qu'est ce que je vois ? un avenir gâché, comme si le paradis m'était interdit à jamais, je devient l'ange déchu d'une société perverse. On m'a montrer les portes qui menait à un avenir de rêve alors qu'elles étaient en train de se fermer. Je me vois courir vert ses portes, mon dernière espoir de vivre un avenir heureux, mais elle se referme, se referme !...

Il est trop tard, trop tard...

J'ai courus pourtant, courus. Entre moi et ces portes, il y avait des images, la nature, mon avenir heureux, et tandis que je courait, l'espoir s'éteignait comme on éteint une bougie. Ces images sont si lointaine maintenant, elle sont devenue des nuages de vapeur qui ont disparut petit a petit. Alors, je m'écroule de tout mon poids sur le sol glacé et je m'effondre sur moi même. Le vent, les oiseaux, la nature, ou est elle ? Les enfants qui rit, qui courent avec leur petite jambes qui vacillent, mon rêve d'adulte, ou est il ? Les larmes qui je séchait, les sourires qui me récompensait et les dessins gribouillé, ou sont il a présent ? Hors de ma porté, derrière ses portes de fer et qui ne s'ouvriront pas.

Il est trop tard, trop tard...

A genoux, j'implore le ciel et la terre, j'implore les éléments qui se déchaînes autour de moi, comme si il voulait me faire tomber plus bas que terre. Mais au moment ou je m'y attendait le moins, une main se pose sur mon épaule. Un main ridé, une main vieilli par le temps : la sagesse est venu me parler. Elle me parle tranquillement et posément. Je sourie de nouveau et les nuages noirs s'écartes pour laissait passer les rayons de soleil. Lentement, je me relève pour rebrousser chemin. Je reviendrait plus tard sur mes pas, pour de nouveau franchir cette porte. Et cette fois ci, elle sera ouverte. Je n'était tout simplement pas prête...

La vie est belle! Tellement belle!

16 novembre 2006

Suite

Je remut les épaules, mal a l'aise. La p'tite ne me lache pas du regard. C'est bizarre, d'habitude je vais toujours m'assoir sur ce banc. J'étale mes longues jambes devant moi, je met les mains derrière la tête, et je peux rester des heures comme ça. Mais là, je n'ai plus envi. J'en veux à cette gamine de m'avoir piquer ma place. J'espère que ça ne va pas devenir habituelle.
Je ne peux pas sortir comme même... Et puis je n'en ai pas envie. Je me détourne et je me dirige vert le saule pleureur. Je m'assois contre son tronc, esseyant de me mettre dans une position confortable. Ce n'est pas si désagréable ici. On sent l'herbe sous les mains, le bois de l'abre sur le coup... l'étrange contact avec la nature... En fait,j'men fous de la nature -faut pas que je devienne poète avec ça. C'est juste que j'apprécit le calme par rapport au enguelade qui a chez moi.
J'ai fermer les yeux depuis un bon moment, comme si j'était sur le point de m'endormir. Soudain, une voix clair et enfantine me fait sursauter.
- Pourquoi t'es pas venu sur le banc?
J'ouvre les yeux, et cette fois ci, c'est moi qui la dévisage. Elle penche la tête sur le côté, comme si elle cherchait à comprendre quelque chose; ses sourcils son froncés.
- Quoi? je demmande, interloqué.
- Pourquoi t'es pas venu sur le banc? répète-t-elle
J'ai vraiment pas envie de répondre. D'ailleurs, c'est ce que je vais faire. Ne pas répondre.
- Pourquoi t'es pas venu sur le banc? dit elle d'un ton de plus en plus insistant.
Décidément cette petite est bien singulière. Je n'arrive pas a savoir si elle est mal élever ou tout simplement craquante. Un peu des deux peut être...

12 novembre 2006

Chapitre 1: rencontre

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J'ouvre les yeux sur un nouveau jour. Ça va. Aujourd'hui, aucun bruit. Peut être parce qu'on est dimanche. Mais après tout, je m'en fous. Je me redresse sur mon lit et j'observe ma chambre miteuse. Des livres qui traînent, des cahiers, une patoche... Rien a changer, tout est en place. J'attrape rapidement un jean sous mon lit, un t-shirt propre que j'enfile rapidement et je sort de ma chambre.
A la cuisine, je mange rapidement des céréales; je n'ai pas envie de m'attarde: dans la chambre de mes parents, j'entends du bruit. Ils doivent dans doute se réveiller.
Je range mon bol, prend une veste et je file. L'air frai du matin me fait énormément de bien. Je respire à plein poumons et je me met en route vert mon jardin secret. Enfin, pas vraiment un jardin secret, c'est un tout petit parc public, fréquentait uniquement par une seul personne. Et cette personne c'est moi. Faut il être bête pour l'avoir deviner.
J'ouvre le portail qui grince et la porte referme avec un grand claquement. Tout est à sa place: le saule pleureur, le chêne, les quelques buissons, le petit lac minable fréquenter par un noble canard. Oui, tout est bien là. Il y a même un truc en plus: sur l'unique banc du parc, une toute petite fille est assise et regarde le ciel. Mais son regard dévie brusquement pour aller vert moi. Ses yeux bleu me dévisage d'un air intéressai... Brusquement, je me sens mal a l'aise sans savoir pourquoi.

12 novembre 2006

Archive du samedi 21 octobre 2006 "?!?"

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- C'est quoi le bonheur?
- Le bonheur, c'est les coups de pieds dans les feuilles mortes, c'est ton regard qui va vert le ciel pour deviner quel forme a le nuage, c'est les petits moineaux qui chantent le matin, c'est le monde que tu as autour de toi qui se déplace ensemble, sans s'en rendre comptes, dans la même direction. Le bonheur, c'est encore un air de guitare jouer et la musique qui trotte dans la tête de chacun et qui donne envi de dancer. Le bonheur, c'est lorsque tu ris, tu ris, tu ris, à t'en faire mal pour le restant de tes jours, et que lorsque tu t'arrête, tu sais que ça recommencera un jour.
- Pourquoi tu souries?
- Le bonheur, ça ne se garde pas. C'est comme une bulle, de toute les couleurs, des couleurs de l'arc en ciel, qui gradis, grandis dans ton esprits, et elle est tellement belle, tellement joyeuse et chantante que tu ne peux pas la garder pour toi. Alors, tu en donnes un peu de ton bonheur au autres, parce que sinon, tu sais que tu vas exploser, et que tu danseras et chanteras jusqu'a en devenir folle, folle de joie, folle d'amour pour la vie. Alors, tu ris, tu chantes, tu aimes, tu cris, tu regardes le monde autour de toi en souriant. Un sourire, ca atténue un peu ton trop plein de bonheur, pour ne pas que ça se vois trop. Parce que être heureux aujourd'hui, c'est incroyable, inconcevable, mal vue.
- Tu mens. Il y a des épreuves dans la vie. Des coups dur. La mort d'un de tes proches, une dispute avec ton meilleur ami, la femme ou l'homme que tu aimes qui ne te regardes même pas, qui ne sais même pas que tu existes. L'école, qui s'emplois a te donner de grand coup sur la tête avec leurs sales notes, leur sale bulletin. Et le monde, in? Il n'est pas triste le monde? Les guerres, les enfants qui meurrent de faim.... C'est pas triste ça?
- Justement. Tu devrais avoir honte, honte de te lamenter sur le monde. On n'en a pas le droit. Nous sommes les mieux lotti dans ce monde, et tu oserais être malheureuse? Il ne suffit pas de le pleindre le mondre, il ne suffie pas de s'appitoyer sur son sort, personne d'aussi chanceux que nous n'en à le droit! Regarde autour de toi: tu as de la nouriture, tu as des amis, tu as des êtres qui t'aiment et tu aimes des êtres. Imbécile. Idiot.
- Personne ne peut être heureux tout le temps.
- C'est vrai. Peut être. Mais si un jour la bulle de toute les couleurs de l'arc en ciel éclate, elle se regonffle, regonffle, pour devenir encore plus grosse et plus forte qu'avant! Mais vous, vous êtes aveugle: vous ne voyez pas la beauté de chaque choses, vous ne voyez pas que une situation peut être amusante et vous apprendres des tas de choses, sur la vie, sur vous même.
Alors ouvre tes yeux. Et regarde.

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